Filature d'un froid matin d'hiver.
On a tous, un matin, ouvert les yeux en ne sachant plus, se bref instant ou on ne se rappelle rien, quand le monde reprend sa course avec lassitude, puis nos idée se débarrasse des reste chaud d'un rêve trop vrai. On sais a cette instant toute les choses qu'on a fuis en s'endormant, comme des vautours attendant calmement le retour certain de leur proie. Se matin là je me réveillait dans un lit qui n'était pas le mien, ces draps, leur odeur, la sensation a leur toucher, rien n'était familier. L'odeur qui flottait dans l'air, j'apprendrai que trop vite a la connaître. Puis mes muscle revienne a eux après mon esprit voilà tout mon corps qui se manifeste, la chaleur endolorie d'un sommeil réparateur les quittent. Je m'étire, j'ouvre des yeux déjà fatigué de se qu'il savent qu'il vont voir, les ténèbres sont partout. Un filet artificiel de couleur oranger perse dans la chambre. La sonnerie retentis me sortant de ma torpeur, tel une machine dont on aurait activer l'activité, privé de ses penser, opérationnel pour suivre les idée et la vie de tout les jours. Le robot se lève commence a rassembler ces affaire pour la journée, de sa cage doré s'enfuit une question, vite repéré elle est ignoré le temps n'est pas a la réflexion. Une autres sonnerie. La machine cesse son activité. Reprenant doucement possession de mes membre mes penser se concentre sur l'important, « en quelle salle ai-je cour? Et de quoi ? » mettant ma main a ma poche cherchant mon pauvre emplois du temps, tout en avançant je tape dans l'épaule de quelqu'un qui se met a grogner, je siffle un pardon presser et fonce dans la masse grossissante des autres machine. Je m'avance dans les couloirs. J'y suis, je m'arrête et attend le prof. Dans le flot d’élève je perd mon regard, d'une tète a l'autre...
Le trouble, le chaos, la discorde! Mon cœur s'affole! Mes penser se mélange c'est le cauchemar! Un craquement ! Un murmure ! Des rire au loin! Je recule! Je baisse les yeux!