Fin de partie
Merci à Soly, pour la rédaction de sa fiche
INTRODUCTION
Amorce: Partir de Frankestein pour aboutir aux risques des machines. Ou parler du luddisme: protestation disant que les machines prennent le travail des hommes. Poser le problème du sujet: Problème du rapport entre l'homme à la machine (doit-il la craindre ou en faire son alliée?) Problématique: Différence entre la question de l'utilisation et la question de la machine.
I- La machine, produit de l'homme, créatrice de progrès 1) Définition machine/outil L'outil n'utilise que la force musculaire, alors que la machine est un assemblage de pièces destiné à produire une fin grâce à une énergie autre que humaine. C'est le résultat d'un progrès technique, c'est la conséquence des connaissances humaines, résultat du développement du savoir.La machine possède une indépendance à l'homme, c'est pour cette autonomie qu'on peut craindre la machine. Décalage dont peut provenir le danger potentiel de la machine. Décalage entre la machine, produit de l'homme, et la machine, indépendante de l'homme. Etymologie: ruse de la nature, qui peut se retourner vers l'homme. Dans le champ sémantique du mot machine, on retrouve machination (on peut comprendre le danger). 2) L'homme créateur de la machine L'homme crée la machine, la règle et l'alimente. il peut la faire fonctionner et l'arrêter, c'est lui qui en définit la fonction.Machine car: - l'homme n'est pas capable de faire de faire ce qu'elle fait l'homme ne fait pas aussi bien, n'est pas très précis. Machine est le signe de l'intelligence de l'homme et aussi de la spécificité de l'homme par rapport à la nature.Machine est conséquence de connaissances, mais aussi cause de nouvelles connaissances (ex: le microscope a permis de connaître les microbes). 3) Le but de la machine Peut causer d'autres connaissances et du progrès technique. On produit plus en moins de temps donc plus d'investissement donc rendement plus important. Selon