François malherbe, paraphrase du psaume cxlv fiche
Le texte de François Malherbe, née en 1555 et mort en 1628 est un poème, écrit en 1627.
Il est composé de 24 vers
Il est formé en 4 strophes(Alexandrins) de 6 vers(Sizains)
Les rîmes sont de forme AA,
Puis de forme ABBA et ceci pour toutes les strophes du poème.
(Rîmes plate sur les deux premier vers de toutes les strophes puis rîmes embrasser sur les 4 autres vers.)
L’auteur s’interroge au sujet de la puissance des hommes sur terre.
Le but de ce texte est de rappelé aux hommes qu’ils sont mortels et non immortels et qu’ils doivent alors se concentré sur dieu et sur la possibilité pour eux d’aller au paradis à condition d’avoir eu une vie irréprochable.
On trouve trois fois une référence à la vanité dans ce texte. Cette notion de vanité et employé pour dire aux hommes que vivre toute sa vie en étant vaniteux ne leurs apportera rien et que d’une façon ou d’une autre on les oubliera. Ce qui nous fait alors comprendre que Malherbe conseil à ses semblables de respecter la bible et de mené une vie saine.
Dans ce poème, Malherbe évoque ses expériences personnelles avec amertume. Il utilise des mots péjoratifs comme « mépris », « soumission », « lâches »...
Dès le début du texte, Malherbe montre sont désespoir face à sa vie qui n’a était que soumission.
Il emploi un vocabulaire péjoratif également pour parler des rois pour lesquelles il travailler. Pour nommé leur grandeur il utilise des mots tels que « fière » , « pompeuse », « orgueilleux » , « hautaine » ... A la fin du poème il en conclu que les rois sont des « arbitres de la paix » .
Il veut en réalité dire que les rois sont mortels, qu’ils n’ont aucuns pouvoirs sans leurs « spectres », Ils « meurent comme nous ».
Malherbe emploie « Nous », en parlant de lui et des courtisans des rois. Donc des hommes en générale.
Il emploie beaucoup le champ lexical de la vanité, également pour la mettre en évidence. Par exemple il dit