Freud explication de texte
Ce que le sexuel tend à nous imposer, nous sommes obligés de le réfreîner et de le refouler, le chasser de notre partie consciente pour le placer dans notre inconscient, et ce, à cause de la société, dans laquelle ces aspirations n'ont pas leur place.
en partie aussi mises au service de nouveaux buts.
On essaie de canaliser l'énergie sexuelle de manière utile : la procréation par ex.
Nous avons aussi reconnu que, malgré toute la fierté que nous donnent nos conquêtes culturelles, il ne nous est pas facile de satisfaire aux exigences de cette civilisation, de nous sentir à l'aise en elle, parce que les restrictions pulsionnelles qui nous sont imposées signifient pour nous une lourde charge psychique.
Bien que la société nous offre un certain confort de par les conquêtes réalisées (évolution des lois, des moeurs, progrès de la santé, progrès techniques) ce confort n'est que relatif, vu que nous devons douloureusement supporter le fait de canaliser nos pulsions sexuelles.
Or, ce que nous avons reconnu pour les pulsions sexuelles vaut, dans une mesure égale et peut être plus grande, pour les autres, les pulsions d'agression.
Ce que nous venons de voir pour les pulsions sexuelles (société qui condamne les pulsions sexuelles, obligation pour l'individu de les refouler) nous pouvons en dire la même chose pour les pulsions d'agression.
Ce sont elles surtout qui rendent difficile la coexistence des homme et qui menacent sa continuation ; une limitation de son agressivité : tel est le premier et peut être le plus dur sacrifice que la societé doit exiger de l'individu.
L'agressivité peut, dans une de ses formes, être liée au meurtre : d'où dans le texte : "menacent sa continuation" Contrôler l'agressivité est le fondement de toute société et sans doute l'une des choses les plus