Gdbdf

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administratives plus ou moins tatillonnes pour augmenter le coût des importations et/ou le délai d’entrée sur le territoire national…), – les subventions publiques à la production et/ou à l’exportation (dons de l’État pour baisser artificiellement les coûts de production des entreprises nationales et donc leur prix de vente dans le pays et/ou à l’étranger), – le dumping (pratique consistant à vendre à un prix volontairement inférieur à son coût de revient, en particulier sur les marchés extérieurs),
– le dumping social (situation de non-respect par un producteur des règles sociales pour minimiser les salaires et améliorer sa compétitivité-prix…).

Aujourd’hui, le protectionnisme n’a pas disparu : le protectionnisme tarifaire recule sous l’impact du GATT puis de l’OMC, alors que le néoprotectionnisme (barrières non tarifaires comme les normes sanitaires, techniques, les subventions, etc.) est bien présent.
Les principales raisons expliquant le recours au protectionnisme sont variées. Elles peuvent être liées à la volonté de protéger une industrie jeune (protectionnisme éducateur ou offensif de F. List) ou vieillissante (protectionnisme défensif de N. Kaldor) ou considérée comme stratégique (armement, nucléaire), de défendre des emplois menacés, de réduire le déficit commercial en limitant les importations, d’augmenter les recettes fiscales de l’État…

Mais le protectionnisme connaît des limites. En effet, en réduisant la concurrence, il a pour conséquences : des prix plus élevés, un choix limité de produits, une moindre innovation, des ententes entre producteurs nationaux, un retard dans les mutations industrielles nationales, etc.
2. L’organisation des échanges aux niveaux mondial et régional
2.1. Quelle est l’évolution de l’organisation du commerce international ?
Le développement considérable des échanges internationaux depuis le milieu du xxe siècle a été rendu possible par le GATT (General Agreement on Tariffs and Trade),

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