Hegel et l'art
Hegel, philosophe allemand né au siècle des Lumières et mort en 1831, s’intéresse à l’art dans une œuvre intitulée Esthétique, publiée en 1830 et dont le premier tome contient le texte concernant cette finalité auquel nous allons nous intéresser. Le texte s’inaugure donc par un rappel de ce que l’art était avant: la satisfaction directe des besoins spirituels humains. Hegel voit dans l’art la transposition de l’idée en quelque chose de perceptible par les sens, la représentation sensible de l’idée, en ses propres mots, la “recontre de l’esrit et de la matière. Il defend donc que avant l’artiste y déposait son idée, propre et épurée de toute influence extéreure, dans son oeuvre, et u’ensuite le public ecceuillait l’eouvre telle quelle, en tant qu’un tout, percevait ce qu’elle avit de propice au sensible, et s’attardait sur le “beau” proprement dit. Il y avait donc predominance de la forme sur le contenu- comme refètent la tragédie antique grecque qui prêtait tant d’inportance à la règle des trios unites- ou du moins tous deux étaient indépendants. Hegel affirme ensuite que nos besoins requièrent aujourd’hui, c'est-à-dire au momment de sons écriture ou le courant artistique était le romanticisme, une autre forme de satisfaction. Notre relation avc l’art est donc toute autre, et l’on ressent aujourd’hui le besoin démettre des réflexions sur l’art- ce mot est d’ailleurs répété quatre fois tel quel et maintes fois sous des synonymes dans le texte- car on est poussé à relier la forme