Histoire de la profession d'infirmière en france
Bourneville crée la première école d’infirmières en 1878 à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière à Paris (stages pratiques et apprentissages)La Guerre : Promotion de l’image de l’infirmièrePage 18Les années de guerre marquent profondément l’image des infirmières, avec des évènements historiques et des figures de terrain clésLa Guerre : Promotion de l’image de l’infirmièrePage 18Florence Nightingale (1820-1910) :Nurse engagée sur le front, aux côtés des soldats anglais, pendant la guerre de Crimée (1853-1856)Elle va ouvrir des « Hôpitaux de campagne »La Guerre : Promotion de l’image de l’infirmièrePage 18Florence NightingaleSon objectif : l’amélioration des soinsSes méthodes : la formation, l’hygiène, l’amélioration de l’état de l’hôpital« Soigner la maladie, mais avant tout soigner le malade dans un environnement propice à la guérison »La Guerre : Promotion de l’image de l’infirmièrePage 18La théorie de l’apprentissage de Florence Nightingale , met l’accent sur …afficher plus de contenu…
La formation et l’expérience sont, bien entendu, nécessaires pour nous enseigner aussi comment observer, ce qu’il faut observer, comment penser et ce qu’il faut penser » (Nightingale, 1882)Pour elle, une fois qu’une infirmière « avait appris à apprendre », il fallait poursuivre le processus au-delà de la formation proprement dite.La Guerre : Promotion de l’image de l’infirmièrePage 18– Henri Dunant (1828-1910) :Face au choc provoqué par le constat du nombre de morts (bataille de Solferino) : il vient en aide aux mourants sur le champ de bataille afin de réduire leur peine et leur souffrance.Il attire alors l’attention sur la nécessité d’une organisation humanitaire, basée sur le volontariat et la neutralité à l’égard des blessés de guerre.La Guerre : Promotion de l’image de l’infirmièrePage 18– Henri Dunant (1828-1910) :Marqué par les conditions du soldat blessé, il revendique le statut de blessé, en disant que hors- combat, il n’est pas l’ennemi mais un être humain en