Nous avons pu affirmer notre hypothèse de départ à la suite de nos observations. Premièrement, nous avons pu confirmer que les espèces intolérantes allait en effet dominés le stade 1 du la forêt. La principale espèce s’ayant retrouvée au boisé Papineau a été le peuplier faux-tremble. Celle-ci, n’ayant aucun obstacle à la lumière à la naissance d’une forêt réussira à pousser abondamment vu les conditions favorables relatives à ses besoins qui lui sont offertes (absence d’ombre). En se déplaçant vers le site 2, il est alors facilement remarquable que les peupliers laissent graduellement leur dominance à d’autres espèces : les intermédiaires. Ces arbres peuvent tolérer l’ombre et pousser sans problème majeur dans une forêt renfermant déjà plusieurs arbres en hauteur. Au boisé lavallois, les intermédiaires seront entre autre représentés par l’érable rouge. Toutefois, les intermédiaires ne sont pas les seuls à faire surface. Les tolérants pourront également commencer à se répandre vu le taux décroissant continu des espèces du premier site. C’est ainsi que les espèces telles que le hêtre à grandes feuilles fera ses débuts dans une forêt croissante. C’est d’ailleurs ce dernier type d’espèce qui sera dominant dans le troisième site après l’extinction graduelle des espèces intermédiaires. Ce phénomène est majoritairement dû à une meilleure adaptation des tolérants dans un milieu ombré que pour les intermédiaires.
Notre deuxième hypothèse stipulant qu’un climax serait retrouvé dans le site 3 s’est aussi avérée comme vrai. En effet, étant donné qu’à partir du moment où les conditions présentes dans le site 3 sont atteintes, le milieu naturel plongera pour une période continue le sol où pousse les différentes espèces dans l’ombre. Les espèces tolérantes seront donc les seules à subsister et aucun changement ne devrait être observable, ce qui nous rappelle la notion d’équilibre.

Conclusion :
Plusieurs objectifs nous avaient été demandé d’atteindre au tout début de cette