Commentaire sur l'incipit de la maison du chat qui pellote, Balzac

Dans La maison du chat que pelotte, Balzac nous monter la société du début du XVIIIe siècle. Cet œuvre s'inscrit dans sont projet de comédie humaine, et à pour but de montrer qu'un mariage d'amour est toujours l'oins d'être parfait. On va s'intéresser à l'incipit de ce roman, en voyant comment Balzac donne les informations dans celui-ci et pourquoi.

D'abord, Balzac commence par présenter le contexte du roman. En effet, l'incipit commence par une localisation des lieux grâce à des rues existant à l'époque comme «la rue Saint-Denis» ou «rue du Petit-Lion». Cela nous place direct dans un roman réaliste, car les lecteurs connaissent ces rues, ainsi le contexte spatial est facilement imaginable. Puis, Balzac nous présente le contexte temporelle, en nous plaçant pour commencer dans la journée «Par une matinée», puis dans l'année «mois de mars», tout ceci se passant en 1811. Tout ceci permet donc aux lecteurs d'avoir une idée précise de où et quand va se passer l'intrigue, c'est rend l'œuvre réaliste. Le roman commence par une longue description de la maison pour faire voir aux lecteurs le milieu dans lequel va se dérouler l'intrigue. La maison est présentée par deux observateur successifs : d'abord le narrateur qui présente «une vieille bicoque», en insistant sur sa vieillesse et sa fragilité, en la caractérisant ironiquement de «vénérable édifice», puis de frêle maison». Le deuxième observateur est «un jeune homme» qui se trouve de l'autre coté de la rue. Le narrateur observe alors le jeune homme et décrit la maison en suivant le regard de ce dernier : il présente «chaque étages» jusqu'au «troisième», puis suit le regard du jeune homme qui redescend vers «les régions inférieurs»; il fait alors n gros plan sur «la formidable pièce de bois» de la façade; la description est donc justifiée par la présence du jeune observateur. On remarque aussi l'extrême précision de la