ZOE : Je vous remercie grandement M. Hugo d’avoir accepté cette interview. Je suis très honoré d’être en votre présence à ce jour. Accepté vous de répondre a quelques questions dans un bref délai ?

AGATHE : Mais bien sûr ma chère enfant, avec plaisir.

ZOE : Bien pour commencer j’aimerais savoir si vous avez souffert du divorce prématuré de vos parents ?

AGATHE : Oui bien sûr, je pensais et je pense toujours d’ailleurs que le divorce est contre la nature des choses, j’en ai souffert et cela a déchiré mon âme.

ZOE : Ce choc dans votre vie est-il à l’origine de votre passion pour la littérature ?

AGATHE : J’ai trouvé refuge dans la lecture, de là est né ma passion. Et l’enfant de 14ans a osé cette phrase : « Je serais Chateaubriand ou rien ».

ZOE : Un jeune prodige, je vois. Avez-vous été reconnu comme tel dés votre adolescence ?

AGATHE : La publication de mes premiers textes me conforta dans ma vocation naissante, et je ne m’interrompis de lire et d’écrire pour forger mon esprit de grand écrivain que je fus. J’entrepris des études et ma carrière prenait son envol.

ZOE : Votre frère a du être interné peu après votre mariage avec Adèle Foucher, il était jaloux de votre succès, de votre réussite. Vous êtes vous senti coupable ?

AGATHE : Oui un peu, ce n’était pas facile, je ne avais si j’avais fait les choses bien ou mal. On me disait que se n’était pas ma faute mais je me sentais forcément coupable.

ZOE : Je comprends votre désarroi. Vous avez eu de nombreux enfants, vous deviez former une famille heureuse ?

AGATHE : Oui, bien sûr, au début. Moi et Adèle nous nous aimions, les enfants étaient heureux et unis de voir l’amour parental. Nous formions une belle famille, il faut le dire.

ZOE : Magnifique ! Je crois être l’événement le plus tragique de votre vie en 1843, la mort de votre fille bien aimée. Ce fut dur pour vous d’autant plus que vous n’avez plus écrit pendant 10 ans ! Parlez nous en !

AGATHE : Je n’aime pas vraiment