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intégrisme catholique

408 mots 2 pages
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Présentation de l'intégrisme

1. Présentation : Mgr Lefevre : proche de la religion « de base »
---> rupture : sacre des évèques sans le consentement du pape : pour perpetrer la « vrai » religion .
Anticommuniste/anti franc-maçon/anti liberté religieuse . Liberté religieuse vs tradition chrétienne.
1970 : fraternité saint pie X. → Mgr Lefebvre : « nous refusons par contre et avons toujours refusé de suivre la Rome de tendance néo-moderne et néo-protestante qui s'est manifestée clairement dans le concile Vatican II et après le concile dans toutes les réformes qui en sont issus. »
Vatican II : pour lefebvre : « réforme issue du libéralisme et du modernisme » → empoisonnée , hérésie. »
Mgr Lefebvre : prône les valeurs de la foi ancestrale.
Volonté de se séparer de l'église moderne : « sans aucune rébellion , aucune amertume aucun ressentiment »
1976 : Saint Pie X interdite par le pape , mais Lefebvre continue son action dans son dos (ordination de prêtre)
22 juillet 1976 : Fraternité dissoute , Mgr Lefebvre suspendu : par le pape Paul VI
→ Lefebvre critiquele pape et le concile Vatican II.
Soutiens les partis politiquement conservateurs et certains régimes dictatoriaux « catholique » (ex : Franco/Salazar)
→ Soutiens Le Pen (entre autre)
→ admirés par François Brigneau et Roland Gaucher (extrême droite)
Mort de Lefebvre le 25 mars 1991
2. → Saint Pie X : présent dans 50 pays , sur les 5 continents
1983 → rupture Vatican/St Pie
Rome et St pie ont gardés des relations.

Vatican II : Concile ou l'église s'ouvre à : la modernité / la culture contemporaine / questions sur les origines du monde et sur le retour aux racines (Bible?)
→ débat sur la liberté religieuse & attitude vis a vis es autres religions
→ Eglise = plus ouverte ( extremistes et conservateurs : super enervé)

Début de l'extrémisme catholique : révolution française : 1789 nationalisation des biens de l'église

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    Note de Lecture « La démocratie protestataire » Lilian Mathieu Quel est le rôle joué par les mouvements sociaux dans la vie démocratique française, et quel est leur poids ? Telle est la question que se pose Lilian Mathieu, directeur de recherche au CNRS et spécialiste de l'étude de la politique contestataire, dans cet ouvrage intitulé « La démocratie protestataire », paru aux Presses de Sciences Po en septembre 2011. L'auteur n'effectue qu' une brève définition, en note de bas de page, de la notion de « mouvement social » retenu dans cet essai, à savoir « des entreprises collectives ([...]syndicales, associatives ou informelles) exprimant des revendications sous des formes protestataires, éventuellement conflictuelles, et à distance du jeu politique institutionnelle », avant d'entrer dans le vif du sujet. L'essai est fondé sur une étude des mouvements sociaux depuis 1995, année où le nombre de journées individuelles non travaillées connaît un pic important, notamment avec les grèves de décembre 1995, qui représente la naissance du mouvement social comme acteur politique indépendant. L'auteur tente de définir la manière dont les mouvements sociaux participent au débat démocratique, en analysant les liens entre ceux-ci et les instances officielles, partis et gouvernements successifs.….

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