Itard
Condillac (1714-1780), c’est ce que l’on appelle le sensualisme, c’est à partir de nos sensations que l’on peut les développer, les connaître.
On aboutit donc au sensualisme par les sensations.
« L’homme est naturellement bon, c’est la société qui le corrompt » (Rousseau)
L’homme est donc avant tout un être de sensation. Ce qui prime, ce sont les sens avant d’intellectualiser la chose.
Cela ouvre le débat entre Nature et Culture.
Rousseau : Sa mère est morte 1 mois après sa naissance. Il a été accueillit par une femme et il s’est émancipé seul. Il monte à Paris et rencontre Condillac et Diderot.
Il rencontre une femme illettrée avec laquelle il aura 5 enfants qu’il abandonnera.
Ces livres vont être condamné au bûcher. Il pense contre son temps.
Il mourra à Hermeunonville, et ses cendres reposeront au Panthéon.
Pour Rousseau, le malheur de l’homme vient de la société. L’organisation sociale corrompt l’homme. L’idée même du progrès est néfaste à l’homme.
Le progrès ne peut-être reconnu s’il y a amélioration de la condition de l’homme.
L’homme est coincé entre la nature et culture. Comment vivre avec les autres ?
Contrat social : chaque individu s’aliène librement, volontairement à la volonté générale, l’intérêt commun.
En retour, l’état doit protéger les personnes et les biens et doit œuvré au développement intellectuel et moral.
L’égalité et la liberté sont assurées à chacun.
L’éducation doit développer chez l’enfant les principes d’une sociabilité fondé sur la raison, le langage et la moralité ( Pour trouver sa place dans la société, ce principe se trouve dans le contrat social.
Grand principe de Rousseau ( respecter les capacités de l’enfant, tenir compte de