Je pense donc je suis

359 mots 2 pages
Le texte « lettre à la princesse Elisabeth du 4 aout 1645 » de Descartes, un philosophe du XVII eme siecle parle de l'équilibre naturel que l'être doit accorder a sa raison ainsi qu'a ses désirs afin d'obtenir le bonheur.
En effet, il se demande si l'abolition de tous nos désirs, nos regret ainsi que nos repentirs au profit unique de notre raison peut nous conduire au bonheur. Il se demande donc si tous nos désirs sont synonymes de malheur ou bien si certain de ceux ci peuvent nous rendre plus heureux que notre raison.
Afin de répondre à cette problématique, Descartes émet la thèse que certains de nos désirs, ceux qui ne sont pas accompagnés d'impatience et de tristesse, peuvent nous rendre plus heureux que notre raison. En effet, certains de nos désirs semblent pouvoir combler quelques insatisfactions laissés par notre raison.
Néanmoins, cela contredit de nombreuses thèses tel que le fait que nos désirs étant infini, nous ne pourrons jamais les combler. De ce fait, nous serrons toujours malheureux. De plus, la souffrance l'emporte toujours sur les courtes satisfactions. Cela signifie que tant que l'on aura des désirs, on ne connaitra pas le bonheur. Il faudrait donc abolir nos désirs afin d'être heureux.
Cependant, si nous supprimons tous nos désirs, nous allons donc écouter notre raison uniquement. Or la raison, lorsque nous sommes malade ne nous laissera jamais utilisé des medicaments afin de nous soigner car ceci est contre nature. Notre raison nous poussera a laisser la nature nous soigner. Ainsi, sans médicament, nous mourirons donc beaucoup plus rapidement.Afin de répondre a sa problématique, Descartes émet une antithése qui décrit que nos désirs, nos repentirs ainsi que nos regrets sont la cause de notre malheur contrairement à notre raison. Il explique qu'il faut donc les abolir afin d'être heureux. Il passe ensuite dans une démonstration basé sur des exemples pour abolir certains aspects de son antithèse. Ainsi il distingue les désirs déraisonnables

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