je suis née un jour bleu
Danniel Tammet, était un bébé qui pleurait tout le temps, vers 2 ans il se renferme sur lui. Ses parents sont soulagés de ce changement, que leur enfant ne soit plus colérique et pourtant cela marque son autisme. Vers l’âge de 4 ans il est atteint de crise d’épilepsie qui sont souvent lié au symptôme, et de là il ne vit plus qu’avec les nombres comme amis, car pour lui les autres sont comme des objets qui l’entourne.
C’est donc à cette période de sa vie que son autisme est le plus marqué, et pourtant le contexte fait qu’on le nomme d’enfant dans son monde. Il n’est pas diagnostiquer car le syndrome d’Asperger n’apparaitre que 10 ans après, avec les travaux du pédiatre autrichien « Hans Asperger » rendu réellement publique qu’après 1991.
En quoi peut on dire qu’il est atteint d’un trouble du spectre autistique à savoir le syndrome d’asperger ?
La Haute autorité de la Santé (HAS) parle de la triade autistique qui comprend : l’altération des relations sociale, une restriction des intérêts et des activités et enfin une altération de la communication verbale, mais qui ici n’a pas lieu, car les autistes Asperger n’ont pas de trouble de la communication.
Nous allons donc essayer de retrouver ces critères chez l’auteur et les mettre en lien avec nos expériences, lectures et émissions.
Son rapport aux autres est très compliqué, il exprime que pour lui les autres enfants « font parties du décor », il est rare qu’il les regarde dans les yeux .L’absence de regard est un critère premier chez les enfants autiste. Car des études faite par Nathalie Drouin, démontre que les autistes regarde d’abord les détails de la bouche qui s’agite, avant de regarder les yeux, alors que chez une personne dite Neurotypique on regarde d’abord les yeux puis ensuite la bouche, ce qui nous donne des éléments pour communiquer.
Quand on travaille avec des personnes autistes, il est facile de le constater et pour attirer le regard cela passe par la posture se mettre en face