Jnbjuh

371 mots 2 pages
XVIIè
Molière
Théâtre
Comédie ( ?)
Baroque ( ??)

Introduction :

Une scène d’entrée du protagonistes, après l’effet d’attente de la sc 1, quand Sganarelle dresse le portrait de son maître pour Gusman, valet de Done Elvire.
Une tirade répondant au reproche fait au maître par son valet, suite à l’autorisation donnée par celui-là à celui-ci.
Situation de double énonciation : c’est moins le maître qui se justifie face au valet que le personnage, le mythe littéraire, qui expose son credo devant le public.

Axes possibles :

- les stratégies argumentatives : Dom Juan commence par se présenter comme une victime (verbes au passif, point de vue, fausse indignation…) pour progressivement, justifier l’inconstance au nom de la nature, et finalement s’affirmer comme un conquérant. Dom Juan présente la fidélité comme une mort symbolique, donc logiquement, l’inconstance est la vie même. - La variété des arguments : la fidélité est socialement ridicule (paradoxal si l’on songe qu’au XVIIè la morale dominante est religieuse, mais assez subtil si l’on considère qu’à l’époque de Molière l’inconstance est courant à la Cour), la fidélité est une entrave (principe incompatible avec le libertinage), la fidélité est contre-nature (l’argument des principes naturels peut être considéré comme cohérent chez un matérialiste comme Dom Juan) - L’autoportrait du libertin : le texte fonctionne comme un portrait du libertin type, incapable de résister à la beauté féminine, principalement guidé par sa vue (champ lexical du regard), conquérant par nature (il est un aristocrate), orgueilleux (sa perte est déjà visible, lisible).

Questions possibles :

- Quelles sont les stratégies argumentatives employées par le personnage pour défendre son point de vue ? - En quoi ce texte vous paraît-il illustrer le thème du libertinage ? - En quoi cette tirade annonce-t-elle les grands enjeux de la pièce ?

Conclusion : Une entrée en scène fracassante, le

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