La belle
La fête de tous les excès :
Petit rappel : en guise d’entrées les invités ont déjà mangé « un potage aux pâtes, un pot-au-feu, une blanquette et des petits pois au lard » ! [pic] Un certain humour de la part de l’auteur : Les invités sont renversés sur les dossiers des chaises (ligne 2) et sont obligés de déboutonner leur gilet (l. 3) = les ventres s’enflent de manière grotesque. Un certain côté mécanique : les mâchoires travaillent et ne s’interrompent pas même lorsque la plupart des invités font une pause (noter le verbe continuer) : ligne 6 continuaient à avaler de grosses bouchées). [pic] L’état de la table : • à partir de la ligne 11 • Elle a un aspect assez repoussant : la vaisselle est grasse, la nappe pleine de taches et de miettes = le laisser-aller général est flagrant, il règne un grand désordre sur la table : les invités ont mangé sans faire attention. Des caractères de l’écriture naturaliste : une accumulation de détails avec un sens aigu de l’observation : une débandade du couvert apparut sous la vie clarté, les assiettes et les fourchettes grasses (l. 11). Ici c’est n’est pas le jugement du personnage, ce n’est pas l’opinion de Gervaise, mais celle de l’auteur. [pic] la relation à la nourriture : Les invités