La conditions ouvrière au 19ème s
1) Habitation et salaire des ouvriers
Prenons l’exemple, dans le document 1, en France, d’une famille où l’homme et la femme ont un enfant de 10 à 12ans. Ceux-ci reçoivent des salaires ordinaires dont en tout la somme de 915 franc. Ils doivent bien évidement payé leur nourriture ainsi que leur logement à raison de 738 francs, ce qui leur laisse donc une somme de 117 francs pour le feu, la lumière, l’entretien du mobilier, le linge, les habits,… Voilà donc une somme bien misérable pour une famille vivant dans la pauvreté ! Hors ceux-ci devraient avoir une considération autre que ce qu’ils ont, que ce soit par les linges, la nourriture ou encore leur hygiène de vie. De plus comme cité dans le document 4, ils n’ont pas le droit de réclamer une augmentation de salaire à cause d’une augmentation de travail ! Pour peine, l’instigateur de la grève fut condamné à 1 mois de prison tandis que les autres ouvriers ont eu droit à 10jours de prison chacun. Ils n’ont donc pas la liberté d’expression. Dans le document 11, on signale que le salaire touche aussi le choix des habitations : l’ouvrier des villes, va chercher à se loger au plus bas prix et devra donc choisir une maison dans les rues les plus étroites,