La france et la question algérienne
Nous allons étudier deux document, le premier est un discours à l'Assemblée nationale de 1954 par le président du Conseil et ministre des Affaires étrangères « Pierre Mendès-France » ,le second est un extrait de du journal « Le Figaro » datant de 1959, dans celui-ci nous avons des solutions proposer par De gaulle pour rendre la paix en Algérie. Ces deux documents parlent de la guerre d’Algérie qui ces déroulés entre 1954 et 1962, mais ils ne parlent pas du même moment , le premier du début de la guerre et le second de la fin . Grâce à ceci nous allons pouvoir étudier le changement de mentalité des français durant la guerre d’Algérie.
Dans le premier document Pierre Mendès-France montre la mentalité et la réfection des français lors du début de la guerre d'Algérie, en 1954. Se discours se passe juste après l’attentat du FLN , en 1964 . Pour les Français, et y compris pour Mendès-France , l’Algérie fait partie de la France et une séparation n’est pas envisageable (« il n'y a pas de sécession concevable ») et il ne faut pas oublier que des français y vivent ,Pierre Mendès-France le dit « les départements d'Algérie constituent une partie de la République française ». L’opinion de Pierre Mendès-France est partager car il est applaudi sur presque tous les bancs de l'Assemblée, de la gauche à l'extrême droite.
Cinq ans plus tard, le général de Gaulle et est devenu le président, la guerre d’Algérie a pesé lourd durant ces cinq années, elle a réussi à changer la mentalité des français. On peut maintenant parler de l’indépendance de l’Algérie. De Gaulle lance un référendum. L'organisation de ce référendum est cependant conditionnée à un « retour effectif à la paix » et repoussée après un délai de quatre ans. De Gaulle affirme que « les Algériens décideront de leur destin » et évoque la sécession comme une solution envisageable bien qu'il la désapprouve « d'invraisemblable et désastreux ». Il propose deux autres solutions qui