On dit que « le monde de demain sera constitué des jeunes d'aujourd'hui ». Cependant, si les jeunes d'aujourd'hui ne peuvent plus se payer leurs études, le monde de demain n'évoluera plus. Devant cette réalité, le ministre de l’Éducation devrait savoir que plusieurs étudiants ont un travail à temps partiel, et que cela est juste assez suffisant pour qu'ils aient une vie normal. Si les frais de scolarité augmentent, j'ai une certitude que cela affectera plusieurs familles dans des points de vue personnel, sociale et économique.

Les désavantages personnels important :
Tout d'abord, il faut prendre conscience que si les études coûtent de plus en plus chère, beaucoup moins d’étudiants voudront pousser leurs études plus loin, car ils n'auront pas assez d'argent ou juste pas l'envie de dépenser autant pour étudier. Autrement dit, il y aura un taux de décrochage de plus en plus élevés, car les étudiants ne verront plus l'importance d’étudier si on leur ferme les portes et qu'on ne les laisse le choix qu'aux études qui mènent directement sur le marché du travail. De plus, pour ceux qui décideront d’étudier quand même, ils auront donc de lourde dette derrière eux, qui les suivront durant plusieurs années. Cela n'aura non-seulement un impact sur leurs vie personnels, mais sur leurs vies sociales aussi. C'est-à-dire qu'ils passeront leur vie a travailler sans cesse et qu'ils n'auront plus de temps pour leurs familles et leurs amis. Ce que je veux dire c'est, d'une façon ou d'une autre, les étudiants partent désavantagés et donc découragés.

Les désavantages pour la société :
Dans un même ordre d'idée, le coté social de la situation à autant son importance. S'il y a de moins en moins d’étudiant universitaire, il y aura donc de moins en moins de chercheurs scientifiques qui eux ont besoin d'un diplôme très élevé pour avoir accès aux fonctions de recherches. Ce qui en résume que le monde de demain n’évoluera presque plus, car les recherches auront diminués de leurs