La machine est-elle forcement un progrés pour l'homme

921 mots 4 pages
Mardi 5 avril 2011, exercice de mini-dissert en 3e

La machine est-elle forcement un progrès pour l’Homme ?

De tout temps, de l’Hommes des cavernes à nos jours, l’Homme n’a eu de cesse d’être dans une rechercher perpétuelle de progrès, de ruse, pour lui faciliter la vie. D’après le grec, le terme mêchanê signifie aussi bien machine que ruse. Par ailleurs, nous nous demandons si la machine est réellement un progrès pour l’Homme. Ainsi, dans un premier lieu, nous verrons les arguments démontrant que, effectivement, la machine permet un progrès. Et dans une seconde partie, d’autres démontreront qu’elle est aussi néfaste pour le développement humain.

Premièrement, l’Homme fut amené à se déplacer sur des distances de plus en plus grande, avec un lapse de temps de plus en plus réduit. Grâce aux divers moyens de déplacements que l’Homme a créé, ce besoin de mouvement a pu être résolu. En 1766, le premier véhicule fonctionnel a été inventé par Joseph Cugnot, qui roulait à 35km/h à son maximum. Moins de trois cents ans plus tard, c’est à 7700km/h que l’avion X-43A bat les records du monde de vitesse. Sans aller jusque là, le bus et le métro sont très utiles pour les citadins que nous sommes. Pour aller travailler, faire ses courses ou tout simplement se déplacer, nos chers moyens de transports en communs nous amènent à l’autre bout de la ville en moins de dix minutes, et seulement avec un euros cinquante, tout en polluant moins qu’une voiture. Au niveau du commerce, sans les camions, bateaux, avions, le trafic mondial serait fortement restreint. Nous attendrions des mois pour recevoir des produits de l’autre bout du monde. A quand la téléportation pour encore plus de vitesse ? Secondement, la machine peut sauver des vies. On les trouve en général dans les hôpitaux, comme les défibrillateurs cardiaques, les assistances respiratoires et autres machines pour garder le cerveau et le cœur éveillés jusqu’au bout, défiant les limites de la nature. Sans elles, les

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