La machine infernale
Auteur: Jean Cocteau
Éditeur: le livre de poche
Ecrite en 1932
Première fois jouée : 1934
Cette pièce est divisée en 4 actes :
Acte I, Le fantôme :
Cet acte commence tout d’abord avec une voix qu’ introduit l’histoire au lectuer. Elle résume la pièce en une phrase : « Il tuera son père. Il épousera sa mère ».
Le premier acte de « machine infernale » commence avec une discution entre deux soldats dont jurent avoir vu un fantôme. Ceux-la sont chargés de proteger la ville de Thèbes contre la Sphinx. Ce monstre, qui pose une devinette et tue ceux qui ne la devinent pas, décime la jeunesse. ( Pour Cocteau, la Sphinx represante metonimiquement la femme, une « tueuse d’hommes »).
Ce fantôme dont pose tellement de soucit est le roi de Thèbes, Laïus. Il vient leur annoncer un sort horrible, qui concerne sa femme. Cependant, il n’arrive pas à le dire, et son mirage est ignoré par le devin Téresias et la reine, Jocaste. En effet, la reine n’a d’yeux que pour le jeune soldat, dont elle s’impressione avec sa beauté.
Acte II, La rencontre d’Oedipe et du Sphinx :
Le deuxième acte se déroule au même moment que le premier. La Sphinx est en fete, une jeune fille, fatiguée de tuer et qui cherche à tomber amoureuse, et comme elle le dit, la vie est : « aimer. Être aimé de qui on aime ». Elle rencontre Oedipe dans une route, vide, déserte. « La jeune fille aillée » est résolue à le laisser partir, mais la froideur et la détermination d’Oedipe de tuer la Sphinx lui décide de se métamorphoser en une bête avec des ailes subites, immenses, pâles, lumineuse. Cependant, elle ne veut toujours pas le tuer et lui donne la réponse de l’enigme :
« Quel est l’animal qui marche sur quatre pattes le matin, sur deux pattes à midi, sur trois pattes le soir ? ». Oedipe lui répoond donc « l’homme » et conquiert la Sphinx. Fou de joie, il court vers la ville, vers la reine qui lui est promise et vers la royauté, oubliant celle dont il n'a pas compris