La pollution, fatalité du monde moderne ?
Elle asphyxie l’homme, salit ses vitres, est responsable de la fonte des glaces et des coups de soleil de leurs habitants. Mais elle passe pourtant parfaitement inaperçu dans le quotidien de ceux qui la subissent, la pollution. Mais, au fond, qu’est-ce que la pollution ? Depuis quand est-elle présente ? Qui est responsable ? Existe-t-il des solutions et, si oui, quelles sont-elles ? Bref, peut-t-on l’éviter ? Tout d’abord, distinguons deux types de pollution : premièrement, la pollution moderne désigne l’altération d’un écosystème par l'introduction, humaine, de substances organiques ou chimiques, de gènes, de radiations ou d’ondes, dégradant de manière plus ou moins importante le fonctionnement du biotope. Par exemple la pollution lumineuse de certaines grandes villes orientales qui provoquent un changement du comportement de certaines espèces de chauves-souris, la mutation de certains mammifères lors de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, les ondes envoyées par les radars des bateaux à la recherche de pétrole dans les grands fonds marins qui effrayent les cachalots qui se réfugient sous la barre des dix mille mètres et qui vont même jusqu’à ne plus s’alimenter. Deuxièmement, par extension, la pollution résultant de phénomènes naturels impossibles à empêcher comme les éruptions volcaniques, qui dégagent toutes beaucoup de gazs dans l’atsmosphère, la respiration aérobie, respiration se faisant en présence d’oxygène par opposition à la respiration anaérobie pratiquée principalement par des micro-organismes, le rejet de gazs carboniques et de méthane lors de la digestion des végétaux par les herbivores ou lors de la dégradation de la litière forestière en sol.

La pollution « naturelle » a toujours existé, la quantité phénoménale de gazs rejetés autour de la terre au cours de sa formation ne comportait presque pas d’oxygène, lorsque les premiers végétaux sont apparus, ils ont synthétisé ce fameux dioxygène qui eut