La Primera Corrida
Pour la première fois Paloma va avec son grand-père voir une course de taureaux.
Vous coy: hein ? - il m'a dit le premier jour, après être sorti du métro-. Surtout cela. Dans les taureaux il ne se parle pas. Il se regarde, s'écoute, apprend, et on est l'un silencieux.
J'ai affirmé avec la tête quelques fois et n'ai pas même osé dire que oui. Il avait treize ans, un soupçon étranger de l'émotion. Il lui avait demandé quelques fois qu'il me portait aux taureaux et s'était jeté rire.
Il ne l'aurait jamais obtenu si le jour antérieur n'était pas apparu par ma maison et il m'avait trouvé seule devant le téléviseur, en voyant le résumé de la première course de taureaux de la foire tandis que ma mère préparait dans la cuisine les sandwiches que mon père et mes frères emporteraient au Bernarbeu.
- Ne chercher pas ici – il a dit, tandis qu'il éteignait la télévision sans me consulter-.
Dans la télévision c'est un affront, et est triste, et est sanglant... Il Attend pour le voir sur la place. Et sur la place j'ai vu la troisième de foire. Mais bien que les taureaux ne fussent pas allés seuls au cheval, bien que le troisième n'eût pas été un cadeau pour le tueur qui a coupé une oreille, je suis sûre que j'aurais trouvé mon endroit. Il(elle) regardait l'arène(le cercle) avec les yeux très ouverts.
-Tu as eu un sort, Paloma - le grand-père m'a dit après être sorti-. T'a-t-il(elle) plu ?
- beaucoup
- veux-tu venir demain ?
- oui.
Et je suis allé le lendemain, et à l'autre, et à l'autre, durant plus de vingt, presque vingt-cinq jours, et à son côté j'ai vu toutes les courses de taureaux de foire.
5. Paloma caractérisé ce qu'il ressentait pendant la course.
Ce qui a fini par découvrir? (L.18-finale)