La prostitution
Légaliser la prostitution en France demenderait beaucoup de courage. Malgré tout cette idée pourrait être plaisante dans le sens ou par ces temps de crises il serait judicieux que le tiers de l'argent reviennent à l'état. En effet, cela participerait à créer des emplois.Il suffirait de réformer la prostitution,à la réglementer de façon à empêcher des dysfonctionnements. Il faudrait donc réfléchir à une politique éfficace pour lutter contre ceux qui exploitent les prostituées afin d'arrêter le travail sexuel à la chaîne. Il faut aussi savoir que certains individus choisissent de se prostituer librement. Il faudrait tout simplement demander aux prostituées ce qu'elles pensent de la légalisation de la prostitution.
On peut distinguer 3 conceptions de la prostitution, 3 approches différentes à travers le monde :
Les pays réglementaristes considèrent que la prostitution est une activité professionnelle comme les autres. Elle doit donc être encadrée par l’Etat, et les prostituées ont un statut de “travailleuses du sexe”.
Les pays abolitionnistes refusent toute réglementation de la prostitution, et considère que la prostitution est une forme d’exploitation, une atteinte à la dignité humaine, une violence faite aux prostituées.
Les pays prohibitionnistes, n’acceptent aucune forme de prostitution. Les prostituées et proxénètes sont jugés en tant que criminels et les clients peuvent être sanctionnés.
En Europe, à l’exception des Pays-Bas, de l’Allemagne, de la Suisse et de l’Autriche qui ont adopté une logique réglementariste, la majorité des autres pays Européens sont abolitionnistes.
Exemple de pays abolitionnistes : France, Belgique. Dans ces pays, la prostitution est autorisée (à l’exception des mineurs, des personnes vulnérables, des personnes handicapées et des femmes enceintes). Cependant, le proxénétisme et le racolage y sont interdits. La loi de 2003 a également interdit le racolage passif.
En Suède