Principalement en raison de Candide, Voltaire se situe à Jonathan Swift comme l'un des plus grands satiristes de la littérature. La satire peut être définie comme la manière littéraire particulier de rendre possible l'amélioration de l'humanité et de ses institutions. Le satiriste adopte une attitude critique et présente habituellement son matériel avec esprit et humour. Conscient des limitations graves dans les établissements dont l'humanité a érigé, il peut demander par le rire pour effectuer un remodelage plutôt que la démolition d'entre eux. Voltaire doit être identifié en tant que tel un satiriste, et il a demandé une refonte plus complète à vivre du comportement humain et des institutions.

Fondamentalement, la satire est de deux sortes: celle qui s'inscrit dans la tradition d'Horace, qui est doux, courtois, de bonne humeur, et qui vise à corriger à l'aide de tolérance, de rire sympathique, et celui de Juvénal, qui est mordant, injurieux, moqueur , et qui est rempli d'indignation morale à la corruption et le mal de l'homme et de ses institutions. Pour dire les choses autrement, on peut dire que le sport satire d'Horace avec la folie, et que les attaques Juvenalian satire des crimes ou délits au moins réputés pour être anti-social. Évidemment, ce dernier type, si elle invite le rire du tout, invite rire méprisant. Les deux types de satire se trouvent dans Candide. Et la chose importante est que même lorsque Voltaire était le plus excité, il a employé le toucher léger et a réalisé un ton souvent de gaieté qui est trompeur pour le lecteur littérale d'esprit qui accepte le récit comme une exagération récit des aventures du protagoniste et rien de plus. Dispositif principal de Voltaire comme un satiriste, c'est que de l'ironie, en l'appliquant non seulement à déclaration, mais aussi à l'événement, la situation et la structure.
L'ironie est une figure de rhétorique par laquelle l'écrivain ou l'intention réelle du locuteur s'exprime d'une manière portant le sens