LA VIE QUI DERAILLE, Michèle Bayar.

Résumé :
Stéphanie, 16 ans, subit le divorce de ses parents à longueur de journée. Elle a un besoin urgent d’apaisement, de soulagement. Elle prépare donc un sac à dos contenant quelques affaires puis s’enfuit.
Adèle, 14 ans, est prisonnière de l’affection de sa mère. Celle-ci croit la rendre heureuse mais la rend en fait malheureuse à toujours la gâter. Elle a un besoin urgent de respirer, de vivre. Elle prépare donc un sac à dos, y tasse son vieil ours en peluche puis s’enfuit.
Les deux ados vont se rencontrer puis prendre le train ensemble, échappant au regard des contrôleurs, mais pas à celui de Béatrice d’Avejan, une de leurs nombreuses rencontres…

Thèmes abordés par le livre :
·Les relations parents-enfants, qui sont difficiles entre Stéphanie et ses parents (ils vivent dans la dispute) et qui sont étouffantes pour Adèle à cause de sa mère qui ne la laisse pas sortir à 14 ans.
·La solitude, éprouvée par Stéphanie à la gare.
·Le voyage, car les ados prennent le train puis une fugue est finalement un petit voyage.
·La peur, l’inquiétude, que les filles rencontrent plusieurs fois pendant leur aventure et que les parents peuvent ressentir pour leurs enfants.
·Les rencontres, qui apprendront aux fugueuse le juste milieu entre se méfier ou non.
·L’amour, des parents pour leurs enfants, et celui qui est sous-entendu entre Jérôme et Stéphanie .
·Le regret, qu’ont forcément les ados, de Béatrice pour Lucie.
·L’amitié, la complicité, qui naît et évolue entre Stéphanie et