la vie

680 mots 3 pages
Dans le cadre du cours, nous avons eu à lie le texte : > D’André Compte-Sponville, auteur contemporain. Il nous explique tout d’abord les différentes opinions sur ce qu’est l’humanité selon plusieurs philosophes tel qu’Aristote, Platon et Descartes. Selon lui, aucune de leurs définitions n’est satisfaisant. Il les décrit comme étant soit trop large ou trop étroite. Sponville trouve certaines définitions trop larges car elles donnent des caractéristiques que l’on peut retrouver ailleurs que chez les hommes. D’un autre côté, il en décrit certaines comme étant trop étroit car les caractéristiques, tout en étant trop vaste, n’incluent pas tous les humains. Par exemple, un perroquet peut parler sans être humain et un homme peut être muet mais demeure tout de même un homme. Selon lui, nous avons tort de décrire les hommes par des traits aussi vastes, car :> De plus, l’auteur critique l’opinion de Diderot dans l’article > car ses idées viennent à l’encontre de ce que j’ai expliqué précédemment. Il décrit comme étant au sommet de la hiérarchie et comme étant des maitres de l’univers. Cela amène Sponville à nous expliquer que malgré toutes ces explications, il y a un signe distinctif qui nous différencie des autres espèces et c’est la biologie. Il nous parle des traits physiques qui à première vue nous distinguent des autres espèces et c’est la biologie. Il nous parle des traits physiques qui à première vue nous distinguent des autres espèces mais qui avec plus de recherches nous sont pas exclusives. La seule différence entre nous et les autres est l’enfantement. Les humains sont tous nés d’une femme, tous engendrés peux importe leurs capacités physiques ou intellectuelles. En effet, il dit que :> Selon lui, c’est notre seul trait distinctif car l’humain est un homme avant d’être humain, il peut devenir humain avec le temps mais il peut également être inhumain. Cela le mène à nous expliquer comment le clonage n’a pas sa place au sein de l’humanité car celui-ci

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