La cigale et la fourmi jean de la fontaine
La morale doit rapper les yeux, séparée du texte et typographiquement diffèrent. La Fontaine ouvre son recueil avec sa fable, dont il faut apprécier la breveté. Il écrit souvent des fables brèves.François Chauveau illustre ces fables, mais les illustrations les plus célèbres sont celles de Gustave Doré.Avec les fables de La Fontaine on peut avoir différentes approches : · Diachronique = aperçu pendant le temps de cette fable : Ésope 241 « La fournis et l’escarbot », Ésope 336 « La cigale et la fourmi » morale fatiguer la paresse. Source : jusque dans l’Ancien Testament (proverbes) la fourmi est prévoyante et donc un modèle à suivre ; apologue et parable ont des traits communs (sont considérées comme des exemples) avec un but …afficher plus de contenu…
À l’époque de La Fontaine les professeurs traduisaient les fables en prose et pas en vers (comme fait La Fontaine). À l’époque classique était impossible de faire suivre un vers long avec un autre court pas de mètres différents dans le même texte : vers libre de La Fontaine avec rimes liberté de l’utilisation des métrique (syllabe) dans le même composition (non un testo connu significato come ai giorni nostri, non rime).· Synchronique = la fable de La Fontaine est ambiguë, parce qu’elle est dépourvue d’une morale explicite liberté dans l’usage de la morale qui comporte aussi la liberté du lecteur dans l’interprétation du texte. Il y a l’audace de faire de l’otium un hymne et de faire une invitation ou Carpe Diem en ouverture de son recueil (audace). Château de Vaux-le-Vicomté (battu à la moitie de XVIIème siècle) nous montre la