La honte de C.G.D

1738 mots 7 pages
La hontePremière partie Au début la narratrice a un souvenir à la situation quand le père a voulu tuer la mère dans la cave. Il a pris la mère par les épaules ou le cou et avait la serpe à couper dans la main. Après les trois étaient dans la cuisine. La narratrice a pleuré et le père n’a pas compris pourquoi. Il disait qu’il ne leur a rien fait. Le soir les parents ont ouvert leur café comme d’habitude. Plus tard la narratrice a dit à quelques hommes, que leur père a voulu tuer la mère …afficher plus de contenu…

Les deux grands villages de par chez nous sont Havre et Rouen, dont Rouen est la plus proche et la plus importante. On peut acheter et faire tout qu’on a besoin à Rouen. La narratrice habite à Y., une ville de sept mille d’habitants. La narratrice est appelée Annie D. ou la petite D. par les habitants d’Y. La ville est en reconstruction après la guerre et est un peu mélangé mais il y a un clair centre-ville pour les habitats même si ce n’est géographiquement pas si clair. Le centre-ville est un peu plus chic que le reste de la ville. Le quartier du Clos-des-Parts qui est très varié est décrit. Au plus l’épicerie des parents d’Annie D. est décrit. Il n’y a pas beaucoup de place et presque tout la maison est usé …afficher plus de contenu…

décrit l’univers de l’école privée catholique où elle est allée. Elle était la seule de la famille qui allait dans une école privée. Là les deux idéaux les plus importantes étaient la religion et le savoir. Les deux écoles, l’école privée et l’école publique, sont très différents. L’école privée, aussi appelé le pensionnat, est une grande bâtisse en briques rouges et on y n’a pas beaucoup d’fenêtres, dont on ne voit pas beaucoup de l’extérieur. A l’école libre vont tous les enfants dont les parents ne peuvent pas payer la fracture d’externat. Là on a une enseignante pour tous les élèves de la première à la sixième classe. Au pensionnat il a beaucoup plus d’élèves qu’à l’école libre. Les élèves des différentes écoles ne parlent pas, les filles du pensionnat reconnaissent ceux de l’école libre de leurs vêtements, parce que quelquefois ils étaient les leurs. Ces écoles étaient seulement pour des filles, les hommes ne pouvaient pas entrer, sauf les prêtres et le

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