La liberté (vocabulaire)

725 mots 3 pages

La liberté (vocabulaire)1) Autonomie/Hétéronomie- Être autonome consiste à se donner à soi-même ( autos en grec) sa propre loi ( nomos en grec), c’est-à-dire à être capable d’ autodétermination . Il y a donc autonomie quand il y a consentement intérieur, obéissance à des motifs raisonnables . Autrement dit, l’autonomie repose sur la raison …afficher plus de contenu…

La raison est amenée à choisir sans influence entre plusieurs possibilités s’offrant à elle. Sartre dira que nous avons toujours le choix au nom de la conscience et la possibilité d’adapter sans cesse notre conduite au nouveau contexte. - Ses partisans (tel Sartre) le considère comme un sentiment évident, indiscutable et inséparable de la conscience réfléchie/réflexive. La délibération se fait intérieurement et consiste à aboutir à une décision dont les conséquences seront assumées par l’individu à l’origine du choix, de la décision. 3) …afficher plus de contenu…

Elle se définit par l’absence de contraintes ou d’obstacles à l’expression de nos penchants. Cependant, parce que l’homme vit en société, parce qu’il reçoit une éducation qui le conditionne par la transmission de règles et d’interdits dès l’enfance, et parce qu’il est doué de conscience morale, cette liberté naturelle semble illusoire pour l’homme éduqué, pour l’ animal politique ou social qu’il est amené à devenir, pour l’individu doué de conscience morale. 5) Liberté politique La liberté politique repose sur la reconnaissance de la nécessité d’abandonner la liberté naturelle ou sauvage (licence) incompatible avec la quête de sécurité et de stabilité. Personne n’est assez puissant (hormis le tyran/dictateur) pour conserver sa liberté naturelle qui repose sur l’expression de la puissance/force de

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Henri labourit - illusion de la liberté
499 mots | 2 pages

Il est n’est donc jamais libre en ce qui concerne les lois physiques. Troisièmement, l'homme se sent libre de devenir ce que bon lui semble. Il croit avoir le contrôle sur son avenir, alors que dès sa naissance il cherche une….

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Freud contre descartes
287 mots | 2 pages

Le fait que nos actes, nos pensées, nos sentiments, nos mouvements parviennent à notre conscience — du moins en partie — est la conséquence d’une terrible nécessité qui a longtemps dominé l’homme : étant l’animal qui courait le plus de dangers, il avait besoin d’aide et de protection, il avait besoin de ses semblables, il était forcé de savoir exprimer sa détresse, de savoir se rendre intelligible — et pour tout cela il lui fallait d’abord la « conscience », il lui fallait « savoir » lui-même ce qui lui manque, « savoir » ce qu’il pense. Car, je le répète, l’homme comme tout être vivant pense sans cesse, mais ne le sait pas ; la pensée qui devient consciente n’en est que la plus petite partie, disons : la partie la plus mauvaise et la plus superficielle ; — car c’est cette pensée consciente seulement qui s’effectue en paroles, c’est-à-dire en signes de communication, par quoi l’origine même de la conscience se révèle. En un mot, le développement du langage et le développement de la conscience {non de la raison, mais seulement de la raison qui devient consciente d’elle-même) se donnent la….

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Le gai savoir §354 nietzsche
626 mots | 3 pages

Le fait que nos actes, nos pensées, nos sentiments, nos mouvements parviennent à notre conscience du moins en partie est la conséquence d'une terrible nécessité qui a longtemps dominé l'homme : étant l'animal qui courait le plus de dangers, il avait besoin d'aide et de protection, il avait besoin de ses semblables, il était forcé de savoir exprimer sa détresse, de savoir se rendre intelligible et pour tout la il lui fallait d'abord la « conscience », pour « savoir » lui-même ce qui lui manquait, « savoir » quelle était sa disposition d'esprit, « savoir » ce qu'il pensait. Car, je le répète, l'homme comme tout être vivant pense sans cesse, mais ne le sait pas ; la pensée qui devient consciente n'en est que la plus petite partie, disons : la partie la plus médiocre et la plus superficielle ; car c'est cette pensée consciente seulement qui s'effectue en paroles, c'est-à-dire en signes de- communication par quoi l'origine même de la conscience se révèle. En un mot, le développement du langage et le développement de la conscience (non de la raison, mais seulement de la raison qui devient consciente d'elle même) se donnent la main.….

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Vicaire sovoyard
719 mots | 3 pages

L’homme, loin d’être un démiurge éthique, est une créature dérivée qui a mémoire de son origine dès lors qu’elle écoute la voix de la conscience. Celle-ci est une source trouvant en Dieu son origine et le manifestant. Sa fonction n’est en effet compréhensible qu’à la condition de souligner qu’elle est la présence de Dieu en l’homme. La conscience n’est pas une voix humaine, mais une voix divine, quelque chose de divin en nous qui signifie que l’homme est essentiellement créature.….

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Inconnu à cette adresse
1131 mots | 5 pages

vue à long terme » des événements n’est qu’une frousse intense de se retrousser les manches pour faire. Ils adorent les mots et les nobles préceptes, mais ils sont parfaitement inutiles à ceux qui font le monde tel qu’il est. Seuls ces derniers, les hommes d’action comptent. Et ici, en Allemagne, un de ces hommes énergiques, essentiels, est sorti du rang.….

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L'acte de questionner ouvre-t-il la voie à un art de penser ?
2070 mots | 9 pages

L’acte de questionner ouvre-t-il la voie à un art de penser ? [Introduction] Hume : philosophe anglais, dont l’empirisme débouche sur un scepticisme. S’interroger par exemple sur la validité de l’idée de causalité : lien nécessaire entre cause et effet. Cette nécessité est mise profondément en question par….

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Utopie
951 mots | 4 pages

Les évènements s'enchaînaient et m'amenait à une carrière encore plus fulgurante que la sienne. Mais je n'avais plus aucune motivation. Un matin d'octobre, je me réveillais en sursaut. Les idées qui se bousculaient dans ma tête jusqu'à maintenant devinrent enfin claires. Lassée de ce quotidien, l'esprit vide, j'attrapais une valise….

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Liberté
2920 mots | 12 pages

« Puisque l'homme libre est celui à qui tout arrive comme il le désire, me dit un fou, je veux aussi que tout m'arrive comme il me plaît. - Eh ! Mon ami, la folie et la liberté ne se trouvent jamais ensemble. La liberté est une chose non seulement très belle, mais très raisonnable, et il n'y a rien de plus absurde ni de plus déraisonnable que de former des désirs téméraires et de vouloir que les choses arrivent comme nous les avons pensées. Quand j'ai le nom de Dion à écrire, il faut que je l'écrive, non pas comme je veux, mais tel qu'il est, sans y changer une seule lettre.….

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Peut-on être libre ou non ?
2198 mots | 9 pages

La raison en est que si tout le monde mentait, on ne croirait plus aux promesses de personne. Par conséquent la maxime qui me pousse à faire une fausse promesse, « du moment qu'elle serait érigée en loi universelle se détruirait nécessairement elle-même. » Cette certitude de la liberté apparaît parallèlement comme une exigence: en effet, la liberté transcendantale est fine donnée qui ne se donne qu'à travers l'impératif du devoir. C'est pourquoi la liberté est toujours une conquête: elle est «ordonnée» par la raison comme «autonomie», c'est-à-dire comme capacité à agir uniquement en fonction de l'impératif catégorique. Et si la possibilité de cette autonomie est certaine, dans les faits, sa réalisation est une conquête jamais assurée.….

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La liberté
945 mots | 4 pages

Diogène de Sinope Sa vie : Diogène de Sinope, en grec ancien Διογένης / Diogénês (Sinope v. 413 – Corinthe, v. 327 av. J.-C.) , aussi appelé Diogène le Cynique, est un philosophe grec de l'Antiquité et le plus célèbre représentant de l'école cynique.….

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Dissertation
464 mots | 2 pages

Ce personnage est un modèle sociale dans une société hiérarchisée du 17eme siècle. -Pierre Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses (1782) Cette extrait fait appel à un courant de penser né au 17eme siècle qui est le libertinage. Il parle aussi de la marquise de Merteuil qui est jalouse, et tant le tous pour le tous afin de récupérer son mari Gercourt. Cette femme rejette toute forme de moral de la part du vicomte de Valmont.….

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Travail
1208 mots | 5 pages

Mais , ce pouvoir semble bien limité car il semble y avoir des obligations, des nécessités auxquelles on ne peut pas ne pas consacrer du temps. Le travail semble être l’une d’entre elles. En effet, au travail, on dépense de l’énergie physique et/ou psychique en échange d’une production ou d’un salaire, mais on dépense aussi du temps. Ce temps passé à se préparer, à travailler et à se reposer du travail pour le travail est sur une journée, une semaine si important, qu’on peut finir par se demander si on ne perd pas son temps à essayer d’en gagner du libre pour vivre.….

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CARTOGRAPHIE DES RISQUES
2008 mots | 9 pages

C'est un élément inhérent à notre vie et à nos actions. Nous pouvons bien sûr essayer de rendre un événement futur aussi probable que possible, mais nous ne pouvons le maîtriser avec une certitude absolue parce que nous ne pouvons pas maîtriser l'avenir, sauf en éliminant la vie. En réponse à une vulnérabilité croissante des systèmes de production, la fonction de gestion du risque, et l'activité professionnelle qui s'y rapporte, a été introduite aux États-Unis au début des années 1960. L'afflux continu d'innovation technologique dans nos économies et sociétés a augmenté la nécessité de maîtriser cette vulnérabilité.….

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La liberté est-elle ce concilier avec le principe du déterminisme de la nature ?
685 mots | 3 pages

DISSERTATION : La liberté La liberté de l'homme peut elle ce concilier avec le principe du déterminisme de la nature ? Le terme liberté peut se définir sous 3 forme : en physique, on parle d'un corps qui tombe en chute libre, en politique, on parle de liberté d'opinions, ce qui suggère une certaine indépendance et enfin en économie, on parle de libre échange (commerce). La liberté au sens large, signifie donc absence de contraintes. Même si nous disposons d'une liberté, de toute manière, il faudrait….

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Le ruban volé
15528 mots | 63 pages

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Les confessions’’ (1765-1770) Autobiographie de Jean-Jacques ROUSSEAU pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : l’intérêt de l’action (page 10) l’intérêt littéraire (page 12) l’intérêt psychologique (page 13) l’intérêt philosophique (page 17)….

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