La mort, l'histoire médiévale et les sciences sociales

2697 mots 11 pages
LA MORT, L’HISTOIRE MÉDIÉVALE ET LES
SCIENCES SOCIALES
Pourquoi la question des vivants et des morts intéresse beaucoup les historiens et notamment les historiens spécialisés dans la période médiévale. Si l’on pose la question, il peut y avoir deux réactions : une première qui montre de l’intérêt, du fantasme impacté par la culture moderne, la vogue et de la fantaisie, une idée qui porte sur les fantômes, les dragons, les puissances surnaturelles, les mythologies scandinaves; un intérêt qui
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Les historiens ont commencé à s’intéresser aux comportements des contemporains devant la mort et ils vont se pencher sur les pratiques religieuses face à la mort. Michel Vovelle écrit une oeuvre qui présente les attitudes devant la mort, on essaie d’aller plus loin que les statistique. Plus tard François Lebrun, la mort est exposée dans la psychologie, essayer de comprendre les mentalités et comment ils se placent face à la mort. Même type d’approche avec l’oeuvre d’Alain Croix. On a une primauté des historiens modernistes français sur ces questions liées à la mort, ce quais monopole est remis en cause au début …afficher plus de contenu…

Il propose de dépasser le caractère achronique face à la mort. Les attitudes face à la mort ne sont pas figée dans le temps mais évoluent dans le temps, l’historien doit être capable d’identifier le regard de l’Homme face à la mort, les attitudes face à la mort dépendent des différentes cultures, du temps et en fonction des lieux. Ce fût une révolution intellectuels d’exposer ce point de vue, cette idée restera toujours valable, tous les humains meurent un jour mais les attitudes face et après la mort est conditionnée à la société à laquelle on appartient. Il essaie d’observer plusieurs époques pour lui même constituer une chronologie du regard de la société sur la mort.
La mort apprivoisée : longue période qui va de l’Antiquité qui va

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