Le bonheur
Exemple d’introduction rédigée : « Y a-t-il de bons préjugés ? »
(point de départ : trouver l’affirmation implicite) On considère généralement que nos croyances doivent être vérifiées, qu’un jugement non examiné ne saurait avoir d’intérêt ni d’avantages. En effet, être un homme de préjugés n’est normalement pas considéré comme une qualité, le préjugé est normalement tenu pour une marque de faiblesse morale qui consiste à se laisser aller aux apparences ou aux idées toutes faites ou une marque de faiblesse intellectuelle qui consiste à ne pas faire oeuvre de jugement puisque avoir des préjugés c’est accepter des opinions sans les examiner, par ignorance et par paresse. (opposition) Pourtant il faut remarquer immédiatement que nul n’échappe aux préjugés et on voit difficilement comment dans l’enfance ou même dans l’âge adulte on pourrait faire pour éviter d’accepter des croyances sans prendre la peine de les vérifier soi-même. Ainsi la majeure partie du temps nous agissons à l’aide de nos croyances ou de nos habitudes.
(problème et enjeux) Si certains préjugés sont inévitables et même vitaux, sont-ils bons pour autant ou tout préjugé en tant que tel est-il à rejeter? Comment vivre sans préjugé alors? La question se pose donc de savoir comment reconnaître les préjugés utiles et les distinguer des préjugés néfastes. Il s’agit alors d’élaborer un code de conduite face au préjugé en reconnaissant ses avantages et ses