Le libraire de gérard bessette
D’abord, les femmes du roman n’ont guère d’identité unique. Bessette les dépeint sans des traits bons, selon la perspective du narrateur. Par exemple, pour Hervé, il faut que les trois « vielles filles » de la Librairie Léon soient associées au nom de leur rayon, comme « Mlle Galarneau (piété) et Mlle Placide (jouets) ». Il oublierait leurs identités individuelles sans lesquelles il les dépersonnalise dans son journal. De plus, quoique Mlle Placide essaie d’être « son alliée naturelle », il refuse de l’aider parce qu’il préfère de dormir sans interruption. Il ne pense pas qu’il doive communiquer avec ces femmes négatives et amères, qui sont présentées sans d’autres traits de caractère. Donc, l’identité unique n’existe pas aux femmes de Saint-Joachin.
D’ailleurs, Bessette présente les femmes comme des objets utilisés par les hommes. Léon Chicoine, propriétaire du libraire où Herve travaille, exhibe une opinion de la supériorité au-dessus des femmes. Comme exemple, il invite Herve d’aller à la maison close et est décrit par Rose de faire « d’astucieuses avances aux femmes (mais jamais devant témoins) » (113). Il est nécessaire qu’il agisse comme ça à cause de l’indifférence et de la volonté sociale d’utiliser les femmes comme des hommes veulent. En outre, l’interaction entre Hervé Jodoin et les femmes symbolise la supériorité masculine. Par exemple, dans la relation entre le narrateur et Rose, il l’utilise pour démontrer sa virilité. Bien