Le machinisme est un concept de production s
Pour ceux qui sont contre le machinisme voient que ce dernier met l’ouvrier sculpte ou détruit son être en passant sa journée dans un atelier jonché de machines. On trouve cette idée également chez des écrivains et un nombre indéterminé d’ouvriers qui se plaignent des atrocités du travail. Cela se manifeste d’avantage dans la citation de Lanza Del Vasto : « l’homme se fait en faisant quelque chose ».
Cela signifie que l’ouvrier est perdu dans une grande rumeur. En plus du vacarme qui perfore les oreilles, brouille les idées, écrase les rêves…Bref l’ouvrier se sent seul face à une sourde machine qui fonctionne de façon monotone et selon une cadence le plus souvent rapide. Ainsi l’ouvrier perd la conscience de soi-même, il devient alors une pièce intégrante de la machine dispensé de réagir au près de tout ce qui se passe autour de lui.
Cet esclavage machinal est comblé par une servitude sociale. Car les patrons exigent de l’ouvrier un plus. En addition, a cette peine physique causée par l’effort corporel une souffrance affective et morale engendrée par des salaires rebutants et des conditions défavorables. En effet, en quittant l’usine l’ouvrier, après de longues heures de corvée, ne pense qu’au lit car toute envie de distraction s’efface. C’est pourquoi il est la victime du machinisme des temps modernes.
Cependant, les partisans du machinisme voit que l’usine ne pourrait elle pas combler l’âme par le puissant sentiment de la vie collective que donne la participation au travail d’une grande usine. Certes la machine permet