Le marché du carbone
Vis-à-vis du problème du réchauffement climatique, plusieurs solutions économiques peuvent être envisagées. Donc on se trouve face à la polémique de quelle solution choisir pour résoudre le problème de la pollution et de « l'abus » par rapport à l'environnement. On parlera alors, dans une première partie des politiques concurrentes de Coase qui appartient au courent ultra-libéral autrichien et il a gagné le Prix Nobel en 1991 (son apport à la science économique est important car il a nié le fonctionnement idéal du marché (CPP), en effet, pour lui le recours au marché ne se fait pas sans coûts) et Pigou qui reprend l'essentiel de l'apport Marshall et il insiste sur l'idée de que la rigidité est la cause du chômage ; aussi on peut parler de l'économie du « bien-être ».
Et puis dans une deuxième partie on parlera des difficultés de mise en œuvre des politiques économiques de réduction de CO2, dans la quelle on parlera du marché du carbone ; le quel s'est développé en Europe avec le nom de : système communautaire d’échange de quotas d’émission (SCEQE), et le quel il fonctionne à partir d'un mécanisme qui permet d’échanger des droits d’émission de gaz a effet de serre (GES), et il est dit aussi « European Trading System » (ETS) ; et ce mécanisme fut mis en place par le Protocole de Kyoto (le traité international visant à la réduction des émissions des gaz à effet de serre, signé le 11 décembre 1997 à Kyoto et le quel est entré en vigueur le 16 février 2005).
Le concept d'économie externe est né avec Marshall et constitue la source historique de la théorie des externalités. En effet, Marshall, en analysant les facteurs concrets des rendements croissants d'une firme, en isole deux : les "économies internes" et les "économies externes". Les premières