Le petit prince
Le Petit Prince expose l'ignorance qui accompagne une déclaration incomplète et bornée perspective. Dans le chapitre IV, par exemple, lorsque l'astronome turc présente d'abord sa découverte de l'astéroïde B 612, il est ignoré parce qu'il porte des vêtements turcs traditionnels. Des années plus tard, il fait la même présentation en portant des vêtements européens et reçoit des éloges retentissant. Parce que les trois-fleur pétales décrit dans le chapitre XVI a consacré sa vie entière dans le désert, il signale de manière incorrecte que la Terre contient très peu d'êtres humains et qu'ils sont, sans racines des gens à la dérive.
Même les protagonistes du Petit Prince ont leurs moments d'étroitesse d'esprit. Au chapitre XVII, le narrateur avoue que sa description antérieure de la Terre trop mis l'accent sur les humains. Au chapitre XIX, les erreurs petit prince l'écho de sa voix à celle des humains et des êtres humains accuse faussement d'être trop répétitif. Ces jugements rapides, l'histoire avance, conduire à l'élaboration de dangereux stéréotypes et des préjugés. Ils empêchent également l'esprit d'un questionnement permanent et ouvert qui sont importantes pour une vie bien ajusté et heureux.
Pour la plupart, Le Petit Prince caractérise l'étroitesse d'esprit comme un trait d'adultes. Dans le premier chapitre, le narrateur établit un contraste frappant entre les façons respectives adultes et les enfants voient le monde. Il dépeint les adultes comme sans imagination, terne, superficiel, et obstinément veiller à ce que leur perspective limitée est la seule possible. Il dépeint les enfants, d'autre part, par l'imagination, l'esprit ouvert, et conscients et sensibles au mystère et la beauté du monde.
Dans les pages d'ouverture du récit, le narrateur explique que les adultes n'ont pas l'imagination pour voir son dessin numéro un, ce qui représente un serpent boa avalant un éléphant, autrement que comme un chapeau. Plus le