Les séquences plus barbares dans le film de Polanski sont traitées avec une qualité implacable directe qui laisse le froid de l' observateur. Dans une séquence d'une famille juive sont triés de se lever quand leur maison est interrogé par des officiers SS . Un vieil homme dans un fauteuil roulant ne peut évidemment pas obliger cette volonté et donc il est tout simplement jeté de sa chaise et sur le balcon donnant sur la rue fissuration sa tête sur le trottoir tout en bas . Au cours de cette séquence il n'ya pas de score capturer ce puissant moment de drame , ni y at-il des gros plans sur les visages de la famille choquée ... notre émotion n'est pas guidé par le directeur mais il nous quitte impassible , insensible à une telle violence indicible .

Ceci est une autre qualité admirable du film qui a été critiqué par certains critiques comme étant trop anti- cinéma. Mais ce n'est point du film ... vous regardez des films sur la guerre et à cause de la façon dont l'image est filmé vous repartirez avec un but très d ' un certain knowledge.Polanski émotionnel cependant est de concevoir des scènes qui, par leur nature laissent le public en une position où le seul sentiment qu'ils peuvent générer est d'une grande perturbation et de choc. Il est essentiel que le public est incapable de comprendre la violence à l'écran parce que d'essayer de comprendre un événement tel que l'Holocauste n'est tout simplement pas possible.

Il ya une autre image obsédante dans le film qui se produit quand une série de Juifs ont été commandés à lessive vers le bas et prendre une balle dans la tête. L'officier se déplace , un par un , tuant nonchalamment les hommes en face de lui avec une balle dans la tempe. Comme il s'approche de la victime finale, il est à court de munitions. Une interprétation cinématographique de ce moment suggère que l'homme a été sauvé , a épargné sa vie par les mains de Dieu. Dans La Pianiste mais il n'ya pas de chance. Tout simplement , l'agent recharge son