QUESTION

La vie d’Henri Brulard de Stendhal, l’Age d’homme de Michel Leiris, Memoires d’outre tombe de Chateaubriand et La Place d’Annie Ernaux composent ce corpus. Ces textes sont ecrits entre le XIX et e XXeme siecle. Ces textes sont autobiographiques, ils relatent tous un episode marquant de l’enfance de l’auteur. Ils ont en commun le fait que l’enfant du récit vit une aventure marchante, ou il est soit accusé a tort ou victimiser: Dans les textes B et D l’auteur est victimisé,l’un par ses parents qui l’emmenent se faire opérer de la gorge et lui dise qu’ils l’emmenent au cirque et l’autre de son approche difícile au language. Dans les textes A et C les auteurs sont accusés d’avoir voulu la mort d’une personne. Ces evenements par leur dureté ont marqué l’auteur et ont eu une consequence sur le «narrateur adulte», comme une peur ( texte D « tout ce qui touche au langage est dans mon souvenir motif de rancoeur et de chicanes douloureuses» ) ou un haine ( texte A L16 «De cette époque date mon horreur pour la religion» ). C’est pour cela que les narateurs ont souhaiter s’y attarder, peut etre pour expliquer un trait de leur personalité ou de leur caractere.

Memoires d’outre tombe est un roman autobiographique rédigé par Chateaubriand en 1812. Le passage que nous allons étudier fait parti du chapitre 5 du premier livre; il s’agit d’un souvenir d’enfance, avec le récit d’une injustice racontée à travers un regard adulte. On peut se demander comment le ici le récit autobiographique. Pour répondre a cette question nous traiterons un premier axe sur le recit du souvenir a visée litteraire, puis dans un second temps nous verrons le regard adulte que porte l’auteur sur son enfance.

I- Le récit autobiographique

1) Le travail de la mémoire

Chateaubriand fait un excelent travail de memoire dans ce texte, on peut le remarquer par la justesse de ses souvenirsEffectivement il livre de son souvenir une description exacte en commencant par decreire les lieux