Le rire
I. Définition
Le mot « rire » vient du latin « ridere » et décrit un mouvement du visage qui fait se contracter certain muscle en réponse à quelque chose de gai ou d’amusant. C’est la manifestation physique d’une émotion ; le rire est généralement associé à une situation positive d’une émotion. Il est multiple aussi bien dans ces formes d’expressions que dans ce qu’il veut laisser paraitre. Il va même jusqu’à s’exprimer dans un oxymore (rire aux larmes, mourir de rire) preuve que le rire est l’expression d’une seule émotion ou bien d’émotion multiples.
II.
La dimension médicale du rire
Certain se sont demandés an quoi le rire interviendrai dans la guérison des maladies, en quoi il sera facteur de bonne santé. Pour les anciens, les médecins, il n’y avait pas de doute : le rire jouait un rôle prédéterminant dans les humeurs. Il favorisait la bonne marche du sang, des lymphes et de la bile. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la science moderne n’a pas abandonné ses recherches concernant le rire. De récente études démontre que les gens qui rient beaucoup sont plus heureux, plus stable, plus équilibré et que le rire est un facteur de longévité.
III.
Les sources du rire
Si l’on en croit Charles Baudelaire dans « de l’essence du rire et généralement dans les arts plastique » en 1855 et « le rire est diverse ». Il provient de situation multiple : - On peut rire : o D’un bon mot, d’une blague : le rire passe par l’ouïe o En voyant une grimace, un geste : le rire passe par la vue o Grâce à des chatouilles : le rire passe par le toucher o En sentant certaine effluve qui provoque une réaction nerveuse spontanée : le rire passe par l’odorat Il est important néant moins de distinguer le rire de l’enfant et de l’adulte « le rire de l’enfant est comme un épanouissement d’une fleur. C’est la joie de recevoir, la joie de respirer, la joie de s’ouvrir, la joie de contempler, de vivre, de grandir » d’après Baudelaire. « Le rire de l’adulte es