Le roman au xiie siecle
I)
16 mai 1950, première réprésentation de « La Cantatrice chauve » d’Ionesco, mis en scène par Nocolas Bataille, aux « Noctambules « (salle de théâtre) * Pas de décor, meubles, costumes prêtés, un seul critque se déplace, rapport négatif * Moins de 10 spectateurs/ séance, mais dans le public : Raymond Queneau * Celui-ci en parle à Jacques Lemarchand, Jean Paulhan, Salacrou, Marcel Duhamel, Jean Tardieu novembre 1950 : représentation de « la grande et la petite manoueuvre » de Adamov, mis en scène par jean-marie serreau et roger blin, puis de « l’invasion » * Adamov est moins connu que ionesco, attire peu de spectateurs et est critiqué Janvier 1953 : représentation de la première pièce de Beckett, « en attendant Godot », mis en scène par roger blin, au « théâtre de babylone », en faillite * Grand succès public, (relance la salle de théâtre) Jacques Lemarchand (critique du « figaro littéraire ») réunit ces 3 noms en la notion de THEATRE DE L’BSURDE (en référence à Sartre et Camus), puis de NOUVEAU THEATRE (sous l’effet de mode du nouveau roman) (Jean Jacques Gautier, autre célèbre critique du « figaro », s’oppose au théâtre de l’absurde) II) 1- Ionesco Né en roumanie, père roumain, mère française. Passse son enfance à paris, puis fait ses études à Bucarest (capitale roumanie), entamme un travail d’écriture : poèmes, critiques littéraires 1938 : thèse en France, 1940 : marseille pendant la guerre, puis retour à paris après la guerre 1970 : académie française Dé clic : 1948 : veut apprendre l’anglais, achète une méthode de coversation, est frappé le non sens de certains exemples. André degaine : « le théâtre, reflet de la société bourgeoise, est avant tout un language. Si on le dynamite, c’est la société qu’on atteint » Utilise dès le début la contradiction, la répétition, la déformation de mots Ionesco prend tout au pied de la