Le Romantisme

Le XVIIIème siècle, siècle de bouleversements et de révolutions dans tout les domaines se finit par le retour a la sensibilité et a la nature se manifeste en littérature et ceci a échelle Européenne car les allemands notamment Goethe, et Novalis ou les anglais Scott et Byron s’inscrivent dans cette logique des français comme Diderot ou Rousseau. Ce rapprochement des genres donne vers 1820 a un nouveau mouvement culturel ; « le Romantisme ». En France les chefs de files sont Nodier puis V. Hugo, ces auteurs s’opposent au règles jusque la intouchables ; le « moi » s’exprime librement, l’Alexandrin perd son hégémonie en tant que vers, la littérature se libéralise et sort de sont entrain classique qui empêchaient les genres de se mélanger, la beauté n’est plus mot d’ordre et s’accompagne désormais de la laideur qui sont maintenant complémentaires.

Comme au XVIIème siècle, une sorte de querelle entre Modernes et Anciens apparait qui connait son paroxysme avec la « bataille d’Hernani ». Et encore une nouvelle fois les progressistes gagnent et sortent victorieux de la querelle et pour accentuer la puissance croissante du Romantisme Lamartine, Hugo et plus tard Musset sont élus a l’Académie française.
Les romantiques se sentent porteur d’une mission presque divine qui est de « préparer des jours meilleurs » et « faire flamboyer l’avenir ». Ils se mobilisent donc contre la misère sociale (ex : Hugo, Les misérables ,1862) et toutes formes d’oppression ou d’injustices. Ces engagement deviennent alors politiques, Chateaubriand devient ministre et Lamartine et Hugo députés. Cependant après avoir crier opposition au gouvernement donc a Napoléon III, des écrivains comme Victor Hugo sont contraint à de nombreuses années d’exil.

Héritiers de Rousseau, les sources d’inspiration des romantiques sont tournées vers leurs « moi » intérieur. Le poète romantique se cherche avec la nature. La poésie lyrique en est le lieu privilégié qui permet au poète d’exprimer