Le mécanisme étudié comprend 10 pièces que l’on peut regrouper en 3 classes d’équivalence distinctes 0, A et B. Après avoir identifié toutes les liaisons, on peut élaborer un graphe des liaisons. 0 Pivot d’axe z Ponctuelle B Pivot glissant d’axe y A

IV. Elaboration du schéma cinématique
0 = {1,3,4,5,6} A = {2,11} B = {7,8,9} Rem : Le ressort 10 étant déformable, on n’en tient pas compte Sur le dessin d’ensemble, il sera d’usage de colorier chaque classe d’équivalence d’une couleur différente. La dernière étape consiste à élaborer le schéma cinématique. Il s’agit d’un schéma plan qui se fera dans le même plan que celui dans lequel est représenté le mécanisme. Il suffit pour cela de positionner un à un les symboles de chaque liaison en respectant leur orientation et leur position relative. En reliant entre elles les classes d’équivalence (couleurs), on obtient le schéma. Le schéma cinématique doit respecter le géométrie du mécanisme. Pivot d’axe z Ponctuelle

III. Identification des liaisons mécaniques

Lors de cette étape, on recherchera les liaisons existant entre les différents couples de solides. Pour cela, il faut respecter 2 règles : • S’il n’y a pas de contact entre deux solides cinématiques, il n’y a pas de liaison entre ces deux solides. • Lorsqu’on étudie la liaison entre deux solides, il faut supposer le reste du mécanisme enlevé. Ex. : Recherche de la liaison entre les solides 0 et A. 1/ Rechercher les surfaces de contacts entres ces 2 solides : surfaces cylindriques d’axe y. 2/ En déduire les mouvements autorisés (degrés de liberté) 2 degrés de liberté Ty et Ry. 3/ Identifier la liaison : pivot glissant d’axe y. 4/ Représenter la liaison par son symbole :
(respecter les couleurs choisies).

y x

Pièce à usiner Pivot glissant d’axe y

Editeur : MemoPage.com SA © Auteur : Stéphane Laurensou

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