Le système éducatif marocain
⦁ Structure du système éducatif est semblable au système français sauf pour la langue qui est mixte.
⦁ Système géré par deux ministres.
⦁ Nouvelle structure en 1990.
II - Faillite du système éducatif marocain
⦁ Parmi les derniers dans l'indicateur du développement humain (IDH) et du PNUD.
⦁ L'arabisation des matières.
⦁ Apprendre sans réfléchir.
⦁ Les enseignants.
⦁ L'éducation à la responsabilité.
⦁ L'orientation qui est vague.
III - Le système éducatif marocain : une avalanche de réformes
⦁ Bilan social, économique et politique désastreux.
⦁ Le secteur éducatif au bord du gouffre.
⦁ Plusieurs tentatives de réforme vouées à l'échec.
IV - Victimes d’un système éducatif élitiste !
⦁ Système éducatif élitiste.
⦁ La pauvreté du pays a un impact sur le nombre de places disponibles sur le marché.
⦁ Le taux de résussite qui s'élève d'année en année.
⦁ Ignorance des autres métiers.
V - La nouvelle école marocaine
⦁ Des enjeux à relever.
⦁ Respecter son engagement politique à l'horizon de 2025.
⦁ Réduire la pauvreté.
⦁ Du chemin à faire pour une économie fondée sur la connaissance.
⦁ Le Maroc exploite mal ses compétences.
I - Introduction
La structure du système éducatif marocain, comme celle des deux autres pays d’Afrique du Nord, l’Algérie et la Tunisie, est semblable à celle du système français malgré une arabisation de l’enseignement, mixte en grande partie.
Ce système est géré par un ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse qui est assisté d’un secrétaire d’État chargé de la Jeunesse et d’un autre chargé de l’Alphabétisation et de l’Education non formelle.
Le système éducatif marocain a connu depuis septembre 1990 une nouvelle structure qui s'est substituée à l'ancienne.
Au lieu de la structure '5 ans d'études primaires et 7 ans d'études secondaires', à la suite de la réforme du système éducatif entamée depuis l'année 1985-86, la durée des études a été subdivisée en un enseignement fondamental