Le père Goriot est un roman de Balzac publié chez folio en 1846. Dans le passage de la page 162 à 165 on est face à un monologue de Vautrin a Rastignac. Dans cette extrait Vautrin a l’air d’apprécier Rastignac pour son ambition et ça volonté de réussir c’est pourquoi il lui propose de l’aider dans son ascension, en lui révélant deux types de voies. Ces deux routes si différentes sont pourtant guidées par la même envie de réussir mais l’une d’elles celon Vautrin est voué à l’échec. Vautrin …afficher plus de contenu…

Ainsi il pense pouvoir se rapprocher de Rastignac en utilisant cette apostrophe de manière paternel.Vautrin est quelqu’un d’ambitieux et il aime les gens comme lui avec un appétit acéré pour la grandeur et les belles choses. D’ailleurs Vautrin fait souvent la comparaison de l’ambition avec la nourriture ou la faim. Cette comparaison est d’autant plus efficace pour amadouer Rastignac lorsqu’il ajoute de la réthorique, quand il demande: “comment nous y prendrons-nous pour approvisionner la marmite?”, pour signifier qu’il n’y a pas trente six mille moyen de assouvir ses désirs.Si l’argent n’a pas réussi à convaincre Rastignac alors …afficher plus de contenu…

Et dans cette partie du texte Vautrin dit clairement que la vie n’est pas tendre, puisque après de nombreuses péripéties pour trouver un travaille il serai quand mêmes “deven[us] substitut de quelque drôle, dans un trou de ville”, se qui n’est franchement pas très attirant. Ça manipulation est renforcée puisque pour cette partie du texte le sujet est “vous” donnant de la distance entre Vautrin et Rastignac. Étant donné que dans ça proposition d’avant il avait pour sujet “nous” Rastignac peu considéré que cette autre proposition et