Le rondeau et ronde
Puis, je retrouve dans la manière dont Charles d’Orléans écrit ce poème, des figures de styles ainsi qu’un champ lexical. Effectivement, aux vers numéro 1,7 et 12, je retrouve une métaphore qui compare le puit avec sa mélancolie. Je peux donc en déduire que sa mélancolie est aussi profonde que ce puit. En outre, la présence d’un champ lexical d’eau avec les termes « tarie », « eau » et « puit » m’engage à assimiler l’eau avec l’inspiration/la création de l’auteur. Le fait que Charles d’Orléans écrit qu’il voit l’eau s’assécher (V.4), qu’il la voit propre et claire et puis trouble et mauvaise (V.5,6) et qu’il dilue son encre à cette eau (V.8) montre son inspiration hésitante. Le poème CCCXXVV est une œuvre très …afficher plus de contenu…
En effet, la métaphore de profondeurs ainsi que les termes employés me touchent et m’incitent à me mettre dans sa position et à réfléchir à ce qu’il a dû endurer. Par exemple, au vers numéro 2, « L'eau d'espoir que je ne cesse de tirer » me fait penser à un espoir sans fin dont il n’atteindra jamais la fin. D’autre part, ce poème me fait comprendre l’importance de la liberté. Effectivement, Charles D’Orléans, à travers cet écrit, me décrit les bienfaits d’être un Homme libre et non pas privé de son pays et de ses relatifs. De plus, le fait qu’il soit confiné entrave ses capacités de créativité. Par exemple, aux vers 5 et 6, son imagination est brouillée et il ne parvient pas à faire preuve d’inspiration pour ses œuvres. En