Apparu au cours du XIXème siècle, le tourisme est passé d’une pratique culturelle réservée aux élites de la classe bourgeoise à un phénomène de masse.Au départ, le voyage était considéré par cette classe sociale comme formateur, la jeunesse bourgeoise en parcourant le monde acquerait des connaissances et de l’expérience leurs permettant de s’enrichir personnellement. Puis il fut élargi à toutes les classes. Ce qui fut à l’origine un progrès sociétal, le voyage est-il devenu aujourd’hui un fléau …afficher plus de contenu…

Permettant alors aux français d’origine très populaire, de profiter des vacances pour chercher à s’instruire, à apprendre de nouvelles connaissances et de revenir remplit de souvenirs à raconter de leurs vacances, atténuant ainsi le douloureux retour à la réalité.Cette démocratisation du tourisme fut une explosion de joie auprès du prolétariat, mais a été mal vécu et perçus par les classes privilégiées, qui au contraire ont vu du mauvais œil l’arrivée des classes populaires dans leurs lieux de villégiature. Finalement, les congés payés ont été bénéfiques sur la santé physique et morale des salariés notamment chez les jeunes enfants, il a été constaté une forte amélioration de l’état général de ses nouveaux …afficher plus de contenu…

Aujourd’hui, les études démontrent que le tourisme en lui-même est devenu un fléau surtout pour les endroits les plus fréquentés, ainsi que pour les locaux qui y habitent. Le surtourisme représentant, une surabondance de visiteurs par rapport aux capacités des sites visités contrairement au tourisme de masse désignant principalement un type de tourisme qui voit se regrouper des milliers de personnes aux mêmes endroits. Ceux sont des termes à la fois différents mais tous les deux sont nuisibles à l’image du tourisme. Ces phénomènes peuvent s’expliquer par l’exploitation des sites touristiques du a une forte industrialisation mettant en place tout un ensemble de stratégies afin d’y développer le tourisme