LA 1 Baudelaire : L’albatros.
Contexte dans l’œuvre : Ce poème a largement été influencé par « le pin des landes » de Gautier (même forme, même structure) : c’est une reprise de ses contemporains pour exprimer les souffrances qu’il ressent. En effet, ici, le poème trouve sa source d’inspiration dans le malaise de l’écrivain, dans les difficultés propres à sa condition de poète, le poète incompris, exilé et souffrant.
Problématique proposée : En quoi repose la modernité de Baudelaire ?
Plan pour cette problématique :
I) Le voyage
a) Le lieu
Le lieu se renferme progressivement sur l’albatros:
Strophe 1 : L’albatros est libre, il suit le bateaux sur les « gouffres amers » : l’albatros suit les humains même si sa engendre de la douleur : rime « mer » / « amers » : mer représente horizontalité, donc hommes. Amers = mauvais, malheur, accentue le malheur des hommes. une phrase = vaste, majesté. Sujet = juste oiseau.
Périphrases pour métaphore albatros
V1-2 enjambement : rien n’arrête albatros
Chp lex maritime lié à oiseau (métaphore filée) : à l’aise dans son environnement ; « vastes oiseaux » hypallage lié mer. Grands horizons Strophe 2 : L’albatros est coincé sur les planches, le monde des humains, et leurs génie (leurs grandes ailes blanches) les oppriment.
« A peine… que » : horizontal = inadapté.
Présent composé : csqces dans présent, immédiat.
Assonance « eu » : lourd, longs mots. Chute vs aérien
« honteux »/ « d’eux » : devraient avoir honte
Strophe 3: L’albatros est renfermé sur lui-même, utilisé comme vulgaire passe temps afin que les marins (l’hupmanitée) puisse se distraire.
Chp lex moquerie « miment, agacent, pour s’amuser ». sqces sur img oiseau : rabaissé, altérité img.
Alitt en l : douceur, vague, agréable, glisse. Verticalité : s’élever (vol), idéal jamais obtenu par Baud vs Spleen (représenté moqueries et incompréhension Hommes)
Accumulation termes péjoratifs, gradation : poète misérable. « gauche, veule, comique, laid,