Les bonnes
1.2 Évolution du théâtre occidental : «plaire et instruire» Renaissance : Drames sanglants (Shakespeare, Angleterre) Comedia dell’arte (Théâtre burlesque italien opéré par des troupes professionnelles) XVIIe : Théâtre classique (Racine, Molière) respect des règles (Aristote, Poétique) XVIIIe : Comédies dramatiques ou satiriques dénonçant les privilèges sociaux (Marivaux, Beaumarchais) XIXe : Refus des règles classiques Drames historiques ou sentimentaux (Hugo, Musset, Dumas fils) Vaudeville (Labiche) Vaudeville : (XIXe) comédie légère fertile en intrigues et en rebondissement, au mécanisme comique éprouvé (comique de geste, de situation et de caractère)
1.3 Théâtre au XXe Première moitié du XXe : tradition et innovation • Vaudeville : Sacha Guitry
Théâtre «symboliste» : • Théâtre religieux : Claudel
• Tragédie moderne : Relecture des mythes antiques à la lumière de l’actualité, avant et après guerre : Cocteau, Giraudoux, Anouilh. Seconde moitié du XXe : innovation et réflexion • Théâtre de l’absurde : Abolition des règles théâtrales, primauté de la structure et du langage sur le sens. Jarry (1899), Ionesco, Beckett • Tragédie moderne : Relecture des mythes à la lumière des philosophies nouvelles (existentialisme, absurde) Sartre, Camus. II Jean Genêt, Les Bonnes 1.2 Biographie • • • • • • • • Né le 19 décembre 1910, abandonné à 7 mois, à l’assistance publique, placé chez des villageois dans le Morvan jusqu’à l’âge de treize ans. Éducation catholique et certificat d’études à l’école communale Victime de la jalousie de ses camarades. («Enfant trouvé») Délinquance juvénile, maison de réforme entre 15