De nos jours, nous vivons dans une société plein de divorce et de séparation où l’on favorise le placement de l’enfant dans le soin de sa mère. Une fois qu’un enfant est victime d’abus ou de négligence les normes de la société ne s’appliquent plus. Suite à une intervention des services sociaux pour abus ou négligence, devrions-nous favoriser le retour d'un enfant dans sa famille biologique ou le maintien de son placement en famille d'accueil ? Il y a des point forts qui supporte les deux côté de la gamme, néanmoins je crois que le maintien d’un placement en famille d’accueil bénéficie le développement nécessaire pour la réussite d’un enfant qui est victime de négligence ou d’abus. Il y a plusieurs formes de maltraitances et il y a six grandes problématiques qui sont reconnue par les services sociaux. Elles ont trait à la négligence, à l’abandon, aux abus physiques, aux abus sexuels, aux troubles de comportement sérieux, ainsi qu’aux mauvais traitements psychologiques qui affectent les enfants .
Chaque enfant réserve le droit d’avoir ses besoins fondamentaux satisfait, non seulement pour leur survie et leur protection mais également pour pouvoir se développer à leur plein potentiel. Une fois qu’un enfant est victime d’abus ou de négligence on lui enlève son droit humain d’avoir ses besoins fondamentaux satisfait. Il y a plusieurs formes d’abus et de négligence et une fois que les services sociaux reconnait cet abus ou cette négligence, l’institution fait tout ce qu’elle peut afin d’assurer non seulement la protection de l’enfant, mais aussi de répondre au besoin de l’enfant afin de grandir dans un environnement de continuité et de stabilité. Les services sociaux visent non seulement le soutien de l’enfant mais elle veut surtout assurer que les enfants continue à maintenir des liens familials et c’est pour cette raison si que le placement d’un enfant en famille d’accueil ce fait de plus en plus avec la parenté, ‘kinship care’, afin d’assurer un lien familial à