Les forças sont des hommes condamnés au galères, on les appelle alors les galériens, ou aux travaux forcés du bagne, d’où leur nom de bagnard. Ces hommes étaient condamnés à être marqués au fer rouge. Le marquage au fer rouge est une peine plus grave que le blâme, l’amende honorable et le fouet mais elle restait cependant moins importante que la mutilation, les galères et le bannissement. En France ce marquage a la forme d’une fleur de lys puis en 1724 d'une triple lettre qui caractérise le motif de la condamnation des forçats. Il y a en effet des lettres pour caractériser le crime commis : le V pour voleur, les lettres GAL pour galérien, T. P. pour travaux forcés à perpétuité, la lettre T pour travaux forcés à temps et bien d’autres. Les forçats étaient exposés a la vue des civiles par leur traversée des villes en destination des bagnes. Ils étaient enchainés les uns aux autres et ferrés par le cou. On appelait cette traversée « le passage de la chaine ». En fin de voyage, elle rassemblait parfois plus de 500 forçats. Plusieurs essayent de s’évadée durant leur transport. Les conditions météorologiques sont très dures, le climat, les violences et les privations exercées par la chiourme des gardiens, maladies…Quelle que foi le chemin peut être modifie. Les condamnés sont souvent des petits voleurs qui meurent de faim, ils ne méritent pas des conditions aussi dures. La vie au bagne et très compliqué, ils ont une tenue obligatoire, des cheveux coupés, des travaux forcé à faire en été comme en hiver …ils y a énormément de lieu de bagne en France et outre mer comme bagne de Cayenne , bagne de Nouvelle-Calédonie, bagne de Mana (ou bagne des femmes) Bagne du Havre, Bagne de Nice, Bagne de l'île de Ré … L’abolition des bagnes se termine le 17 juin 1938, le président signe un décret-loi mettant fin à la peine des travaux forcés dans les colonies, mais après la seconde guerre mondial en 1944 , le général De Gaulle pour régler ce problème, fermer le Bagne. Quant Victor